When the black birds fly (2016) (Jimmy ScreamerClauz)
Synopsis : Le ciel est beau et ce paradis urbain est propre. Chaque bloc est peuplé d’arbres luxuriants et de belles maisons en rangée. Les gens sont libres de se déplacer et de faire ce qu’ils leur plait, tant qu’ils suivent une règle simple : Ne jamais communiquer avec « Le Malin » qui habite de l’autre côté du mur géant qui entoure la ville et est sous surveillance 24 heures/24 par une équipe de soldats portant des masques à gaz. Le souverain de la ville est un homme nommé « Caine », des images de lui parsement les murs de la ville, insistant sur le fait que ses citoyens ont confiance en lui et l’aiment. Mais tout est perturbé le jour où un jeune garçon devient obsédé par les troupeaux apparemment croissants d’oiseaux noirs qui peuplent la ville….
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Aprés avoir retourné le cerveau à tous grâce à Where The Dead Go To Die, Screamerclauz récidive de plus belle avec sa nouvelle folie génésiaque. Imaginez Lewis Caroll devenu schizophrène copulant avec Satan sous LSD et vous pouvez ainsi vous faire une idée de ce qu’est When the black birds fly. Entièrement tourné en film d’animation, Screamerclauz a su peaufiner son style avec la pratique et son indéniable talent.
Le film du festival qui va vous rendre fou, à ne louper cette expérience sur grand écran sous aucun prétexte.
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